Une architecture habitée - Lucien Kroll au Pavillon de l'Arsenal

Voilà que j’ai retrouvé dans mes notes quelques pensées de Lucien Kroll, lors de son intervention le 28/10/13 au Pavillon de l’Arsenal. Dans le désordre :

L’homme marche ; il crée la rue. La rue verticale et la rue horizontale.

Un autre homme vient à sa rencontre, ils s’arrêtent et discutent, c’est la place.

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Il faut de nouvelles méthodes de délibération collective.

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Nous sommes en recherche de “nearness”, c’est-à-dire de la distance minimale pour une empathie urbaine.

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Il faut habiter ses expériences, les vivre de l’intérieur pour en tirer des leçons.

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Pour le durable, il faut du transformable ; mais vraiment !

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Les matériaux sont innocents.

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Pour tous les réfugiés climatiques, des expériences pilotes sont à mener pour orienter les autorités urbaines et éviter le chaos.

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Entre les gens, avec leurs goûts leur pensées, et nous [les architectes], il y a une plage oú l’on peut s’entendre.

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Un groupe de vaches est un exemple de conglomérat, de plan urbain écologique car il est formé selon la personnalité de chaque bête.

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Au delà de l’ordinaire, il y a l’absurde.

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Le projet urbain est un ensemble de mini projets. Une lourde ingienerie est nécessaire pour réaliser le projet de chacun.

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Tout est désordre raisonné. Tout est justifiable par le détail et non par l’ensemble.

Pour voir la vidéo de la conférence, cliquez ici.